Notre école ne faisant pas partie d’un groupe scolaire, est nommée “ Ecole isolée”.
Arrivant à la fin de leur cursus, ses élèves ne peuvent donc pas continuer au sein de leur institution. Cela pourrait paraître un handicap mais je ne le pense pas :
Après quelques années de scolarité paisible, il est important de se remettre en projet pour la suite. Car les propositions de l’Enseignement Catholique sont multiples et variées. Chercher l’établissement convenant au mieux à la personnalité de son enfant ou celui qui porte les valeurs importantes pour sa famille, permet une orientation plus juste et plus sûre.
Les établissements catholiques ne sont pas sectorisés donc les familles ont un réel choix.
Mais il est difficile :
- Comment connaître un établissement autrement que par son site internet ?
- Quels critères retenir dans le nécessaire discernement ?
- Que faire des avis des autres parents ?
- Que disent les anciens élèves ?
Dès la classe de CM1, nous organisons pour vous aider :
- Des RV conseils avec les enseignants.
- Des RV conseils avec le chef d’établissement de l’école.
- Une réunion avec des chefs d’établissement du second degré, accueillant un nombre important de nos élèves.
- Nous vous présentons un tableau synthétique et comparatif de leurs différents projets.
L’inscription en 6ème est faite par les parents de l’élève (trois demandes sont conseillées) auprès des établissements, la plupart du temps au cours du premier trimestre de CM2. Chacun des établissements publie sur son site internet ses propres procédures d’inscription. A consulter régulièrement donc.
Les journées 6ème à l’école:
En fin d’année de CM2, les enseignants proposent aux élèves d’expérimenter la 6ème : pendant un ou deux jours. Les professeurs de l’école et quelques parents volontaires se relaient dans les classes et dispensent des cours divers. Ainsi les élèves se voient proposer des cours de français, de géographie, d’art plastiques… avec des horaires fixes et des “professeurs” différents……presque comme au collège !
Succès garanti teinté d’une petite pointe d’excitation !
Isabelle Hauville
